Avenue Gounod
une vue de l'avenue Gounod
Carte
L'avenue Gounod (et seulement la moitié de l'avenue Chanzy à côté) est encore intacte : aucun immeuble. De jolies maisons.
Dans le journal de Franconville , concernant la modif. du PLU ce 12/02/2015, on peut lire :
"Dans le secteur avenue Gounod (UL-UG), il s'agit d'un ajustement ponctuel du plan de zonage pour permettre une mutabilité des terrains dans ce secteur".
Cette modification du PLU a été faite pour que le promoteur Kaufman &B puisse s'approprier le début de l'avenue Gounod, détruire 3 belles maisons en meulière, détruire 40 box de garage et construire un énorme immeuble de plus, à la gare, Esprit Ville 2.
Cet immeuble viendrait se coller à l'immeuble récemment construit par Kaufman & B, Esprit ville 1, qui nous a coûté 3 maisons dont une belle meulière. (voir rubrique : 2015 gare côté Plessis )
Photo ci-contre : l'ampleur du projet et l'énorme surface envisagée pour cet immeuble.
13 fevrier 2018 : Marie C. et son association envoie une lettre au maire, contre ce projet.
- Nom du fichier : Tract
- Taille : 537.21 Ko
Cet immeuble est concu en dépit du bon-sens ! Déjà il sacrifie 3 belles maisons en meulière dans une des jolies rues encore intacte de Franconville.
Ensuite il est beaucoup trop gros pour s'insérer en début de quartier pavillonnaire. De plus il case toutes les nuisances dans la petite rue Gounod, 6 bormes enterrées et l'entrée et sortie de garage qui mène dans le parking sous l'immeuble.
Cet immeuble donne aussi le long du parking Burger où tous ces aménagements seraient nettement moins génant.
Marie C. a réunit les habitants de sa rue, depuis 2015, et une petite association "Gare au Village" vient d'envoyer une lettre au maire et une pétition de tous les riverains de l'avenue Gounod.
Voir,<<<< à gauche, le tract où elle résume le problème et son action.
Voir ci-dessous le contenu de sa lettre au maire.
Réponse du maire à l'association "Gare au village"
Compte rendu de la réunion publique spéciale du 2 mai 2018, (que nous avons appelé "la bataille de Watrelot".)
Xavier Melki s'est déplacé, en réponse à la pétition. Il est regrettable que tous les signataires ne soient pas venus et que les habitants ne montrent pas davantage leur intérêt pour l'urbanisme, c'est dommage, face à une vingtaine de personnes, la mairie n'a pas à trop s'inquiéter....
De 19h à 20h45, il a été question de l'immeuble Kaufman & B (Esprit Ville 2) au début de la rue Gounod et plus généralement de l'urbanisme à Franconville.
Avenue Gounod, le permis de construire 100 logements (dont 10 logements sociaux seulement) est signé, donc on ne peut rien changer. Les élus n'avaient pas les plans d'Esprit Ville 2, nous leur avons donc appris où étaient les bormes enterrées à ordures et la sortie de garage du projet. Les nuisances sont dans la petite rue derrière, comme font tous les promoteurs, avenue Gounod. La mairie ne peut que réduire les inconvénients. Les bornes enterrées à ordures auront des grilles pour éviter que des personnes extérieures à l'immeuble s'en servent ou y fassent des dépots sauvages. L'entrée de garage, pour une centaine de voitures, on n' y peut rien, que quelques mesures quant à la circulation dans la petite rue Gounod. Apparemmment dans le parking en sous-sol, il y aura 1 place de parking pour les studios et 1,3 place pour les appartements.
Les belles maisons en meulière devaient être massacrées en mai. Le recours de Marie C. à retarder les choses, mais hélas, il semble qu'on ne puisse pas éviter que cet immeuble vienne se caser au milieu de petits pavillons, dans une des jolies rues encore intactes de Franconville.
Citons le témoignage de ce jeune couple qui a acheté un pavillon en 2016, car il trouvait bien agréable cette rue de belles maisons en meulière. Ils ont tout refait dans leur maison et voilà que cet immeuble sera juste en face de chez eux, les bornes à ordures aussi et la sortie de garage un peu plus loin.
Ils vont se retrouver avec des gens dans les étages ayant vue directe sur leur jardin. Un vis-à vis difficile à vivre et pas de réglementation de voisinage pour les fenêtres de l'immeuble, car il est de l'autre côté de la rue. Ils n'envisagent pas de partir mais craignent après avoir subi ce chantier, qu'un autre immeuble s'implante encore à côté de chez eux, le long du jardin cette fois ! "Pas dans l'immédiat ", leur a -t-on répondu selon le PLU, mais à moyen terme, ils n'ont pas de garantie, le PLU se change si facilement...
C'est le cas de beaucoup de Franconvillois qui vivent au pied de grands immeubles et ce vis-à-vis a fait baisser d'au moins 10%, le prix de leur maison.
Leur enfant ne peut pas aller jouer au square de la gare tout proche, squatté par des ados qui fument, installés dans le petit train qu'ils détériorent. Une autre dame a réclamé un vrai square, pas un mouchoir de poche, dans ce secteur, les Eboulures c'est loin pour aller passer un moment avec les enfants.
Pour M Melki, sauver les espaces verts, c'est sauver les Eboulures, Cadet de Vaux et le parc de la mairie. Point.Tous les jardins qui disparaissent, les arbres supprimés parce qu'on trouve qu'ils gènent, tout cela ne compte pas. Aucun espace vert ne vient remplacer ceux perdus et s'il y a un mètre carré de vert dans les nouveaux immeubles, il est caché à la vue des passants. Ce ne sont que grandes façades et trottoirs étroits.
Des immeubles il y en aura encore beaucoup. Bien que nous soyons à jour, sans payer l'amende comme d'autres communes, le préfet nous réclame 519 logements sociaux, car en 2025, les villes doivent avoir construit 25% de logements sociaux. Mais M Melki veut favoriser la mixité, bien que dans le même temps on ne voit que 10 logements sociaux sur 100, comme par exemple à Esprit Ville 2...
Pas de réponse quand on fait remarquer que les 106 logements par an promis à Valparisis sont largement dépassés et qu'on construit 3 fois plus. La centaine de nouvelles voitures va se retrouver dans les bouchons et dans la file du pont de Genevilliers. Pas de réponse sur les 40 box de stationnement actuels qui vont être supprimés.
Pas d'accord possible quand on dit que construire dans une ville où il n'y a plus de terrain libre, ça va donner une ville où on étouffe. Pas d'accord possible quand on dit que le PLU s'adapte aux projets des promoteurs...
Rien de bien rassurant. Le maire va construire encore et encore, sous couvert de répondre aux demandes de l'Etat. On densifie à outrance. 4 classes seront construites à Watrelot, mais à Carmot il ya 16 classes, avec 32 ou 35 élèves par classe. Le maire nous promet d'hypothétiques écoles et nous impose des immeubles, il en pousse partout et la ville se fait sans l'avis des habitants et c'est bien regrettable.
Commentaire de Marie C. suite à la réunion du 2 mai
Quelques commentaires cependant : la date de la réunion a été imposée par le maire et fort mal choisie entre deux ponts ( à dessein sans doute...) donc beaucoup de mes voisins n'ont pas pu venir. J'étais au contraire très heureuse de constater qu'il y avait plus de monde que ce que j'avais prévu. Ce qui prouve que les gens tout de même se sentent concernés et c'est d'ailleurs pour moi la seule chose qui compte dans cette réunion.
Comme je l'ai précisé dans mon courrier de recours il n'y a même pas 10% de logements sociaux dans le projet (cette information vous a été fournie, alors que j'étais déjà partie, par le maire qui ne connaît visiblement pas le dossier) puisqu'il n'y a que 8 logements sur 100. On peut préciser dans votre compte rendu que c'est parce que la ville a autorisé beaucoup trop d'ensembles immobiliers de promoteurs comme celui-ci qu'elle se retrouve aujourd'hui avec un déficit de logements sociaux importants, c'est mathématique. Le maire a prétendu qu'il voulait favoriser la mixité sociale ce qui est faux et c'est l'objet du dernier point de mon courrier de recours que visiblement il n'a pas lu. En effet, c'est dans le quartier de la gare pauvre en logements sociaux qu'il convient d'en prévoir si on veut vraiment mixer les populations et donc l'immeuble Kaufman aurait du au moins comporter 25 logements sociaux voire davantage, et non seulement 8. Au lieu de cela cet immeuble creuse encore le déficit de la commune de 17 logements sociaux, ce qui est aberrant ! Ce massacre du quartier n'est donc justifié par aucune contrainte légale ni préfectorale comme le maire a essayé de dire, sans convaincre personne d'ailleurs. Quand il a soulevé le problème du déficit de logements sociaux sur la commune, la question "pourquoi justement ne pas construire plus de logements sociaux dans le quartier de la gare au lieu de construire encore et toujours des logements de promoteurs ?" lui a bien été posée, mais le maire n'a apporté aucune réponse et a même tenté de déplacer la question sur le terrain complètement hors de propos de la polémique partisane !! Question embarrassante sans doute ?
De plus, il a affirmé que le PLU n'évoluait pas en fonction du besoin des promoteurs mais il a admis que concernant la rue Gounod, le PLU avait été modifié pour permettre ce projet, en précisant que c'était juste pour que l'immeuble "finisse en espalier ". Cette précision est évidemment fausse puisque l'immeuble aurait de toutes façons "finit en espalier" mais au niveau du 1 avenue Gounod au lieu du 3 actuellement. Ce qui, compte tenu des dimensions du terrain du 1 avenue Gounod, n'aurait pas autorisé un immeuble de 6 étages avenue Gounod comme le déplorent aujourd'hui les voisins d'en face. Il n'y aurait eu que 3 étages maximum face aux premières maisons de la rue. Ce qui aurait été très différent pour les habitants de la rue. La façade coté gare aurait aussi été beaucoup plus agréable que la longue barre prévue actuellement. Mais évidemment le programme aurait été nettement moins profitable à Kaufman et c'est donc pour cette raison que le PLU a été modifié en 2015. Dès lors, comment le croire quand il dit que le PLU ne sera pas modifié à la demande des promoteurs ?
Réflexion suite à la réunion....
La moitié des Français ne va pas voter et il n'y a pas à s'en étonner.
Quand on voit le peu de cas qu'on fait des citoyens au niveau de leur ville, de leur environnement proche, alors à l'échelon national, on n'en parle même pas...
Nous le savons bien que nulle part, notre voix ne compte.
Avant les projets, dans les enquêtes publiques, nos avis sont méprisés et après, au moment du permis de construire, tout est décidé, nos avis ne peuvent plus être pris en compte,c'est trop tard. Le maire n'a pas eu de réponse à cela. Nous sommes pourtant en démocratie.
Dans les réunions dites "de concertation" sur le stationnement payant par exemple, tout était déjà ficelé. Avez-vous des questions ?
Nous aimerions qu'un jour, on nous dise : avez-vous des suggestions, des souhaits, des remarques pour améliorer les décisions prises dans votre ville ?
Mais le maire considère déjà que son rôle est de subir la mauvaise humeur des gens. En matière d'urbanisme, sa réelle préoccupation, c'est clair : ce sont ces 519 logements sociaux à caser d'ici 2015, comme l'a demandé le Préfet. Contenter la préfecture, éviter les amendes.
Dans les réunions de quartier, quand la mairie aura modifié le stationnement dans une rue, le rôle des gens sera juste de définir le nombre de bacs à fleurs et comment les disposer. Le maire ainsi pense éviter des reproches de riverains : la place des bacs, ils l'auront décidés eux-mêmes ! sous-entendu les habitants sont des enquiquineurs...
Il y a poutant des maires qui ont une vision plus ouverte. Démocratie participative. Le grand mot. Mais tout simplement, les habitants sur le terrain et le maire, ne sont pas forcément en perpétuelle confrontation.
Je pense que le maire a appris pas mal de choses, grâce "à ce retour" des gens, qui disent comment ils vivent tous ces profonds changements dans leur environnement. Il était très parlant, ce témoignage du jeune couple qui avait bien mené son déménagement avenue Gounod en 2016. Et la jeune femme s'excusant presque, "et il y aura aussi le chantier en face de chez nous, le samedi ?"
- Oui Madame, bruit et poussière de 8 h à 19 h le samedi et de 7 h à 20 h la semaine, c'est la réglementation.
Elle cherchait une certitude. Si "on fait avec" cet immeuble qui gâche tout notre joli plan, il n'y aura pas d'autre immeuble au moins ? Cette certitude, personne ne peut la garantir.
Et le maire mesure alors les conséquences de ses décisions. Il aurait pu exiger que les poubelles, les bornes ne soient pas, en plus, juste devant chez elle, aussi, mais plutôt côté Charles Burger où il n'y a pas de riverains. Ces petits détails, si importants pour les malheureux voisins des immeubles, la mairie n'a pas le temps de les considérer. Hop, le permis de construire, dans ses grandes lignes, est signé. Le maire devrait écouter le vécu des gens, avant de signer.
Mais on ne nous écoute pas.
Aors faut-il cesser d'aller à ces réunions ?
Surtout pas. Nous aurions été 60 ou 80 à remplir la salle de l'Ecole Watrelot, déjà tout aurait été différent. Je ne parle pas de rapport de force. Le maire et les habitants ont tout intérêt à travailler ensemble. Pourtant d'autres témoignages, sur d'autres situations difficiles ou bien des suggestions, des solutions, à nous tous, on pouvait avancer mieux.... Mais il y a peu de citoyens actifs, le contexte ne le favorise pas.
Et on a des files de joyeux consommateurs qui ne réfléchissent pas et toutes les peines du monde à responsabiliser des "consom'acteurs" (conscients de leur santé, de la santé de la planète) qu'on aimerait qu'ils deviennent et des citoyens concernés par leur ville ou leur pays.
Heureusement qu'il reste "des forces vives", des gens qui y croient pour nous éviter des erreurs comme à Notre Dame des Landes, où qui essaient comme à Bure cimetière nucléaire, qui s'associent contre le lait contaminé ou qui réclament une alimentation sans pesticides, qui agissent dans leur coin pour sauver les gibons ou les derniers orangs-outangs, ou pour dépolluer les plages.
Il y a bien peu de "forces vives" contre l'urbanisme affolant. On souhaite des citoyens concernés à Franconville et un maire qui les écoute.
Bien sûr nous manifesterons notre désaccord, quand hélas, les 3 belles meulières avenue Gounod seront massacrées.
Et personne ne pourra nous reprocher de manifester sur le site de la mairie, de faire des pétitions, de dire notre ras-le-bol. Car à aucun moment, avant, on a accepté de nous considérer comme des interlocuteurs soucieux de leur ville, jamais on ne nous écoute alors que nous vivons au quotidien, ici, à Franconville.
30/31 octobre 2018 : les démolitions commencent (photos de Marie C.)
3 novembre 2018 : 3 avenue Gounod
Les différentes étapes pour faire cet immeuble : Esprit Ville 2
.en 2014 : Kaufman&B prospecte, achète des maisons, voire des propriétaires. Puis le maire change le PLU, en modifiant "le zonage" pour qu'il soit possible de caser un immeuble au bord de cette zone pavillonaire, à la gare. Une enquête publique est légalement réalisée en février 2015, avec cahier à la mairie pour écrire son avis. Mais peu de personnes se mobilisent...
décembre 2017 : le permis de construire est accordé par le maire, M Delattre à l'époque.
le 13 février 2018 : Marie C et des habitants de la rue Gounod /Asssociation "Gare au village" font un recours en justice contre cet immeuble de 100 logements Kaufman&B et envoie aussi une pétition..
...le 15 mars : le maire M Melki répond (voir ces courriers, plus haut sur cette page )
...le 2 mai 2018 : le maire organise une réunion publique à l'école Watrelot, en réponse à cette pétition. Il ne semble pas très au courant des détails du permis de construire : la place des poubelles (bornes enterrées), l'entrée du garage etc...
Marie C , alors que le Tribunal administratif a rejeté son recours en justice, continue à négocier : elle obtient que l'entrée du garage de l'immeuble soit côté rue Charles Buger et non dans la petite avenue Gounod, bien étroite et juste devant les maisons d'en face. Par contre, pas de résultat avec le Syndicat Emeraude, pour déplacer les poubelles rue Ch Burger, aussi.
...sept 2018 ; la démolition est retardée, car Marie C. négocie pour le passage des camions du chantier / Pas dans l'avenue Gounod, en plus très rétrécie à son départ de la Chaussée J César. La mairie revoit donc le parcours des camions de chantier. Bravo Marie C. On dirait qu'il faut sans cesse faire valoir le bon sens et les bonnes solutions !
... 31 octobre 2018 : on n' a pas pu l'éviter, la première maison est démolie, les 2 autres suivront ( les 3 novembre et 15 novembre) et il y aura un gros immeuble de 5 étages, Esprit Ville 2, au début de cette jolie petite avenue de maisons en meulière.
C'est en 2015, qu'il aurait été possible de refuser MASSIVEMENT la modif. du PLU (Plan local d'urbanisation) et d'empêcher le maire de "réserver une place" à cet immeuble.
15 novembre 2018 : la 3 ème maison massacrée.
15 novembre 2018
Lettre adressée par "Gare au village" à la Préfecture le 3/07/2018 sur le nombre de logements sociaux dans les nouveaux immeubles.
suite et fin de cette lettre...
1er octobre 2018 : réponse de la Préfecture (à cette lettre du 3/07/18)
Commentaires
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- 1. pierre Le 05/05/2018
Merci de votre témoignage sur les immeubles des Hautes Bruyères (derrière le Leader Price, à l'Epine Guyon, sauf erreur). Chacun peut s'exprimer sur infos destructions maisons Franconville, mais je rappelle que le site n'a pas de couleur de politique et reste indépendant. Merci de votre message donc, même s'il met en avant un groupe politique. Nous en retiendrons que nous avons tous intérêt au dialogue pour faire avancer notre ville, essayer de limiter "la casse" de nos quartiers et d'éviter que partout "on case" des immeubles mal pensés. -
- 2. ELALOUF EMMANUEL Le 05/05/2018
Bonjour
Je viens de lire votre article ,plaidoyé fort intéressant concernant les constructions voulues par la mairie à franconville
Jn’ai pas pu venir le 2 mai dernier à la réunion , pour des raisons professionnelles
Il est effectivement dommage que peu de franconvillois ai pu venir à cette réunion
Je vous suit totalement concernant le refus de dialogue de la mairie avec les citoyens mais aussi avé les élus euxmeme
J’ete maire adjoint depuis 2014 dans l’equipe De Mr DELATTRE et ayant appris à connaître Mr MELKI et son attitude pédante et hautaine avec ses propres collègues de la majorité , et avec moi et quelques autres en particulier, j’ai préféré démissionner de ma fonction de maire adjoint . Je fais donc maintenant partie de l’opposition Municipale avec Mr BODIN et mme Hinaux dans le groupe ensemble pour franconville.
Cette position nous a permis de dénoncer la dernière modification du PLU et de révéler en partie les vrais objectifs de Mr Melki et les moyens pour y parvenir afin d’assurer sa réélection en 2020.
Il est vrai qu’il est difficile de se faire entendre mais nous avons réussi au domaine des hautes bruyères en rassemblant 80 personnes en octobre dernier à imposer à Mr MELKI , de l’eclairage Urbain, une caméra et un grillage près du bois des eboulures sans rien lâcher sur nos positions.
Comme quoi l’a tion Collective à du bon .
Quelque tracts et une pétition on permit de motiver les habitants du quartier
Il ne faut pas perdre espoir et c’est en se mobilisant et en étant uni dans un discours non partisan que nous pourrons agir
C’est que nous souhaitons avec le groupe ENSEMBLE POUR FRANCONVILLE
Emmanuel ELALOUF
Conseiller Municipal et d’Aglomeration
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